Bien que peu de communication soit faite sur mes emballages, il n’en reste pas moins que l’écologie est un sujet qui me préoccupe et qui doit je pense préoccuper tous les artisans.
Je fabrique, donc je produis du CO2 à travers mes différents achats.
Mon idée est donc d’en produire le moins possible.
Pour cela, je recherche à éviter les transports de marchandises qui viendraient de trop loin.
Dans l’absolu, tous les produits que j’utilise sont Français.
Mon sucre est à base de betterave origine France. Un choix assumé lorsque beaucoup d’autres confituriers utilisent du sucre de canne raffiné et importé.
Mes cartons viennent d’Aubazine dans le 19.
Mes pots et capsules de Castelsarrasin dans le 82.
Les étiquettes de Montauban, 82.
Pour continuer dans cette logique, je me suis mis à chercher des producteurs de fruits et fruits secs autour de chez moi.
Je n’ai pas de producteur exclusif et choisis en fonction de la qualité des produits.
Si je ne trouve pas ce que je cherche, j’agrandis tout simplement mon rayon de recherche.
Cette démarche a aussi l’avantage de favoriser le travail des producteurs près de chez moi, de créer une dynamique économique locale que je conçois comme toute logique.
Evidemment, je ne me ferme pas non plus et travaille de manière raisonnée. Cela me laisse la possibilité d’être ouvert sur les goûts et les saveurs que je peux ensuite proposer. Je pense à la vanille pour ma confiture orange amère vanillée, la fève de Tonka pour ma gelée pomme citron Tonka…
Pour finir, la vente de mes articles s’effectue en partie autour de chez moi, via des revendeurs et le bouche à oreille, mais pour être honnête cela ne suffira pas à rendre mon activité pérenne et c’est pourquoi un site internet me permettra de réaliser plus de ventes, de toucher plus de gens et d’exister longtemps.
Faire ce qu’on aime et le faire du mieux possible…
Ma démarche « local »
Bien que peu de communication soit faite sur mes emballages, il n’en reste pas moins que l’écologie est un sujet qui me préoccupe et qui doit je pense préoccuper tous les artisans.
Je fabrique, donc je produis du CO2 à travers mes différents achats.
Mon idée est donc d’en produire le moins possible.
Pour cela, je recherche à éviter les transports de marchandises qui viendraient de trop loin.
Dans l’absolu, tous les produits que j’utilise sont Français.
Mon sucre est à base de betterave origine France. Un choix assumé lorsque beaucoup d’autres confituriers utilisent du sucre de canne raffiné et importé.
Mes cartons viennent d’Aubazine dans le 19.
Mes pots et capsules de Castelsarrasin dans le 82.
Les étiquettes de Montauban, 82.
Pour continuer dans cette logique, je me suis mis à chercher des producteurs de fruits et fruits secs autour de chez moi.
Je n’ai pas de producteur exclusif et choisis en fonction de la qualité des produits.
Si je ne trouve pas ce que je cherche, j’agrandis tout simplement mon rayon de recherche.
Cette démarche a aussi l’avantage de favoriser le travail des producteurs près de chez moi, de créer une dynamique économique locale que je conçois comme toute logique.
Evidemment, je ne me ferme pas non plus et travaille de manière raisonnée. Cela me laisse la possibilité d’être ouvert sur les goûts et les saveurs que je peux ensuite proposer. Je pense à la vanille pour ma confiture orange amère vanillée, la fève de Tonka pour ma gelée pomme citron Tonka…
Pour finir, la vente de mes articles s’effectue en partie autour de chez moi, via des revendeurs et le bouche à oreille, mais pour être honnête cela ne suffira pas à rendre mon activité pérenne et c’est pourquoi un site internet me permettra de réaliser plus de ventes, de toucher plus de gens et d’exister longtemps.
Faire ce qu’on aime et le faire du mieux possible…